Cette chose cadavérique autrefois une femme n’est plus qu’un être décharné. Les vestiges d’une époque agréable, mais révolue à jamais. Saccagée et battue, elle est désormais un simple amalgame de chair. Ses bras en lambeaux et son ventre déchiqueter en disent long sur son passé. Un passé assurément troublant, choquant et affreusement noir. Elle t’elle vieille et usée ou la vie la fait vieillir trop rapidement ? Comme le disait le grand Frédérick II de Prusse : « La diplomatie sans les armes est comme la musique sans les instruments ». Et pour toi Dominique ton art c’est peindre et sans tes pinceaux et ta peinture tu es dans la même situation que la diplomatie sans les armes. Tes pinceaux sont tes armes, des armes qui ne tuent pas, qui ne blessent pas, mais qui produisent des choses tellement puissantes et magnifiques à la fois. La beauté ressort toujours de la laideur. Rien n’est noir, mais rien n’est blanc, non plus. Les connexions effrénées qui s’effectuent à chaque instant dans ma tête, c’est le résultat d’œuvres impressionnantes essentiellement constitué de portraits de personnage fictif extrêmement percutant au niveau de leurs physiques autant que de la psychologie qui découle de cette physionomie ahurissante. Un talent égal à celui des plus grands et plus importants peintres de notre siècle et du siècle passé. Bravo…Bravo…Je cri ouvertement au génie et je veux que cette apothéose s’accomplisse…en métamorphosant toute en quelques choses de totalement atypique…puis coup de théâtre…le rideau s’écroule laissant place à une pléthore des futurs plus grands chefs d’œuvres de millénaire réalisé par toi. Je termine avec un poème arabe de Frédérick II du Saint-Empire brodé sur sa robe mortuaire dédié à son ami le sultan Al-Kamil : <>. Un poème simple et magnifique dédié à une amitié puissante des deux hommes qui avaient tenté d’unifier le temps d’un souffles ces deux mondes antagonistes (celui de la chrétienté et de l’Islam) Charles Vincent Chevalier
Artiste peintre et artiste photographe avec une imagination dérangée.
La surconsommation dans notre société me rend complètement folle. Mes photos de Montréal décrépit forcent le spectateur à ouvrir les yeux sur ce problème.
Tant qu'à mes natures mortes mortes elle forcent le spectateur à se questionner sur la mort. On va tous y passer et lorsqu'un proche nous quitte sa amène des drôles de réactions de la part des gens qui cotoyent la personne en deuil.
Mes toiles de pin-up sont des auto-portraits d'émotions que j'ai mis sur toile. Des petits moments de vie illustrés.
Mes personnages d'école, tant qu'à eux, réflètent mon sens de l'humour un peu tordu...
Painter and artist photographer with a weird imagination.
Cette chose cadavérique autrefois une femme n’est plus qu’un être décharné. Les vestiges d’une époque agréable, mais révolue à jamais. Saccagée et battue, elle est désormais un simple amalgame de chair. Ses bras en lambeaux et son ventre déchiqueter en disent long sur son passé. Un passé assurément troublant, choquant et affreusement noir. Elle t’elle vieille et usée ou la vie la fait vieillir trop rapidement ? Comme le disait le grand Frédérick II de Prusse : « La diplomatie sans les armes est comme la musique sans les instruments ». Et pour toi Dominique ton art c’est peindre et sans tes pinceaux et ta peinture tu es dans la même situation que la diplomatie sans les armes. Tes pinceaux sont tes armes, des armes qui ne tuent pas, qui ne blessent pas, mais qui produisent des choses tellement puissantes et magnifiques à la fois. La beauté ressort toujours de la laideur. Rien n’est noir, mais rien n’est blanc, non plus. Les connexions effrénées qui s’effectuent à chaque instant dans ma tête, c’est le résultat d’œuvres impressionnantes essentiellement constitué de portraits de personnage fictif extrêmement percutant au niveau de leurs physiques autant que de la psychologie qui découle de cette physionomie ahurissante. Un talent égal à celui des plus grands et plus importants peintres de notre siècle et du siècle passé. Bravo…Bravo…Je cri ouvertement au génie et je veux que cette apothéose s’accomplisse…en métamorphosant toute en quelques choses de totalement atypique…puis coup de théâtre…le rideau s’écroule laissant place à une pléthore des futurs plus grands chefs d’œuvres de millénaire réalisé par toi. Je termine avec un poème arabe de Frédérick II du Saint-Empire brodé sur sa robe mortuaire dédié à son ami le sultan Al-Kamil : <>. Un poème simple et magnifique dédié à une amitié puissante des deux hommes qui avaient tenté d’unifier le temps d’un souffles ces deux mondes antagonistes (celui de la chrétienté et de l’Islam)
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